Sur TF1, La Grande Famille : La Vie XXL montre le quotidien de parents nombreux. Mais au-delà de l’évolution fraternelle et de la performance dans les tâches quotidiennes, on découvre aussi des parcours de vie extraordinaires. Amandine Pellissard a eu un enfant et une puberté très difficiles, dont elle s’est récemment confiée. Quant au petit dernier du programme, la famille Orgeval, l’un de ses membres est Noée, une petite fille trisomique. Sa mère, Louise, a lutté contre les préjugés sur le handicap. Amandine Pellissard se confie sur son addiction.
Amandine Pellissard raconte son addiction
Dans l’émission Chez Jordan de Télé Loisirs, Amandine Pellissard ne renie pas son passé de toxicomane. Adolescente, cette mère de huit enfants était en effet elle se drogue, après une enfance très difficile, elle a été abusée sexuellement par son oncle. “J’avais l’habitude de prendre des drogues dures quand j’étais jeune”, a-t-elle expliqué, en particulier de l’héroïne. Selon elle, sa dépendance n’est pas née de nulle part : “Vous devez avoir identifié la question sous-jacente de savoir pourquoi vous finissez par l’utiliser, et pourquoi vous l’utilisez de cette façon. Bien sûr, les rencontres ont beaucoup à faire Si, à un moment donné, tu recules et que quelqu’un un peu malade te met sous son aile, c’est la fin”
Louise Orgeval aux prises avec les préjugés sur le handicap.
Louise et Kévin ont six enfants : Mano (14 ans), Swann (13 ans), Mia (10 ans), Loucio (8 ans), Oscar (5 ans) et Noée (17 mois). Cette dernière a été adoptée par Orgevals en 2020 alors qu’elle n’avait que 3 mois. Ses parents ont délibérément choisi d’adopter un enfant handicapé porteur de la trisomie 21, a-t-elle confié à la mère de Télé Loisirs.
Avec son mari, ils ont décidé de rejoindre la famille élargie pour défier les stéréotypes sur le handicap. “On voulait partager nos expériences, on a eu des vies extraordinaires. C’était important pour nous de montrer que la vie avec un handicap peut être amusante. Parce que quand on parle de nos familles, on dit que le plus jeune est handicapé, les gens nous disent souvent : “Courage, c’est pas facile”, “pauvres gens”… Sinon, on vit bien. On a envie de montrer le côté positif de notre vie et de notre handicap. […] Aux yeux des gens, on ne voit pas grand-chose , mais parfois vous entendez des phrases ou lisez des choses sur nous. Les préjugés contre le handicap ou la famille élargie m’affectent. Les gens ont des idées préconçues sur ce qui se passe, sur nos vies et sur le niveau de société que nous avons”, explique Louise Orgeval.
La mère regarda calmement vers l’avenir, réalisant que le handicap de sa fille n’était pas un obstacle. “Nous ne sommes pas inquiets. Nous savons que la vie avec des enfants handicapés n’est pas toujours facile et que la société n’est pas toujours inclusive”, a-t-elle déclaré. Alors Louise Orgeval est bien décidée à donner le meilleur à Noée : « Même si ça va bien, on est encore en retard, donc on sait qu’il y aura des difficultés sur la route. Mais on n’en a pas peur. On a beaucoup confiance en nous-mêmes, dans Notre capacité à rebondir et à trouver des solutions. Ce n’est pas toujours facile, mais nous y arriverons.